7 septembre 2003
Nicolas Ouedec, un buteur qui déménage
Pour cette nouvelle chronique « Que sont-ils
devenus ? », la rédaction de Fou2Foot fait la part belle aux plus belles années
nantaises et à son jeu si singulier, tourné résolument vers l’avant, si
plaisant à regarder, qui manque cruellement à la Ligue 1 de nos jours.
Que de bons souvenirs à l’évocation du trio Pedros,
Loko, Ouedec, managé de main de maître par le grand Coco Suaudeau. Nostalgie
quand tu nous tient. A l’époque, le jeu « à la nantaise » faisait fureur pour
le plus grand bonheur de nos iris. Pour rendre hommage à cette période,
Fou2Foot est parti sur les traces du buteur de ce règne, le goleador canari,
Nicolas Ouedec.
Nicolas Ouedec et le FCNA, c’est avant tout une
histoire d’amour entre un joueur et son club, entre un homme de cœur et des
supporteurs à l’unisson, durant sept saisons qui l’ont mené au sommet du foot tricolore.
La révélation a lieu lors de la saison 1993/1994, quand Nicolas enfile les buts
comme des perles, justement auréolé du titre de meilleur buteur du championnat
avec 20 réalisations. Sur cette lancée, Nantes va connaître la plus belle
saison de son histoire en 1995, dominant de la tête et des ailes le
championnat, les canaris remportent le titre de la plus belle des manières, en
pratiquant un football léché de rêve.
Une saison plus tard, Nicolas s’en va voler sur d’autres cieux, plus précisément en Espagne avec l’Espanyol Barcelone. Deux saisons s’écoulent, et 19 buts plus tard, Nicolas fait son retour en France sous les couleurs du club de Loulou Nicollin, marqué par une parenthèse parisienne. Sélectionné à seulement 7 reprises sous le maillot bleu, le natif de Lorient achève sa carrière en Chine à Luneng où il remporte la Coupe de Chine, la Super League Cup et le titre de meilleur passeur.
Arrive la question tant attendue, mais que devient donc Nicolas Ouedec ? Contrairement à nombres de ses collègues – qui pour certains auraient mieux fait de s’abstenir- il n’est pas devenu consultant pour une quelconque chaîne de télévision. Non, Nicolas aime trop les gens, les relations humaines et l’excitation d’être sur le terrain, actif. Alors, aujourd’hui où le retrouve-t-on ? A Nantes, pardi. Sa ville d’adoption, cité où il a réalisé ses plus grands exploits, où de nombreux cœurs ont chaviré au rythme de ses buts.
Et que fait-il ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, il s’est lancé dans l’immobilier, plus exactement il s’occupe de la promotion immobilière. Un métier qui lui permet d’être toujours fréquemment présent auprès des gens en général et des Nantais en particulier, eux qui ne l’ont pas oublié. Quand nos confrères de Foot Interview lui demande si son nouveau métier rapporte autant que le football, l’ancien attaquant répond en renard des surfaces, « Oui, je m’y retrouve. J’ai la chance d’avoir construit ma carrière financière durant ma carrière de footballeur. Cela me permet d’avoir une liberté d’action dans ce domaine là et de minimiser les risques. Ca marche plutôt bien. Il faut être là au bon endroit et au bon moment. Un peu comme dans le rôle d’un attaquant de première division. Il faut être là au bon moment, savoir prendre les décisions rapidement. »
Si le métier de promoteur immobilier ressemble au rôle d’un attaquant, on ne se fait aucun souci pour celui qui reste l’un des plus grands attaquants que notre championnat ait conne ses deux dernières décennies. Preuve en est, une fois de plus, Nicolas a prit tout son monde à contre-pied.
Une saison plus tard, Nicolas s’en va voler sur d’autres cieux, plus précisément en Espagne avec l’Espanyol Barcelone. Deux saisons s’écoulent, et 19 buts plus tard, Nicolas fait son retour en France sous les couleurs du club de Loulou Nicollin, marqué par une parenthèse parisienne. Sélectionné à seulement 7 reprises sous le maillot bleu, le natif de Lorient achève sa carrière en Chine à Luneng où il remporte la Coupe de Chine, la Super League Cup et le titre de meilleur passeur.
Arrive la question tant attendue, mais que devient donc Nicolas Ouedec ? Contrairement à nombres de ses collègues – qui pour certains auraient mieux fait de s’abstenir- il n’est pas devenu consultant pour une quelconque chaîne de télévision. Non, Nicolas aime trop les gens, les relations humaines et l’excitation d’être sur le terrain, actif. Alors, aujourd’hui où le retrouve-t-on ? A Nantes, pardi. Sa ville d’adoption, cité où il a réalisé ses plus grands exploits, où de nombreux cœurs ont chaviré au rythme de ses buts.
Et que fait-il ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, il s’est lancé dans l’immobilier, plus exactement il s’occupe de la promotion immobilière. Un métier qui lui permet d’être toujours fréquemment présent auprès des gens en général et des Nantais en particulier, eux qui ne l’ont pas oublié. Quand nos confrères de Foot Interview lui demande si son nouveau métier rapporte autant que le football, l’ancien attaquant répond en renard des surfaces, « Oui, je m’y retrouve. J’ai la chance d’avoir construit ma carrière financière durant ma carrière de footballeur. Cela me permet d’avoir une liberté d’action dans ce domaine là et de minimiser les risques. Ca marche plutôt bien. Il faut être là au bon endroit et au bon moment. Un peu comme dans le rôle d’un attaquant de première division. Il faut être là au bon moment, savoir prendre les décisions rapidement. »
Si le métier de promoteur immobilier ressemble au rôle d’un attaquant, on ne se fait aucun souci pour celui qui reste l’un des plus grands attaquants que notre championnat ait conne ses deux dernières décennies. Preuve en est, une fois de plus, Nicolas a prit tout son monde à contre-pied.
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